présentation d'akashiya

~Présentation d'Ella~



Nom:

Akashiya

Prénom:

Ella

Age:

18 ans

Taille/Poids :

170 cm/55kg

Nindo :

Aucun

Village Choisi :

konoha

Rang:



Affinité(s) :

Doton

Description physique:

Jeune fille de 15 ans, j'ai une physionomie moyenne, mes longs cheveux blanc me retombe jusqu'au cuisse, il forme ainsi une coupe quelque peu bizarre cour vers l'avant, et long en arrière. Je porte le plus souvent possible une tenue assez étrange, elle a la particularité de me laisser libre. Elle se compose d'un haut blanc et d'un bas souple de la même couleur, sinon une tenue de lycéenne, avec une veste verte et une jupe marron avec quelque carreau. J'ai la peau blanche les yeux rouges et grands, une bouche fine, et un visage triangulaire cela ne fait pas de moi une jolie fille.

Description morale:

Comment pourrais-je me décrire? J'ai une forte personnalité, je pourrais à la fois être l'amie dont tout le monde rêve et l'ennemie que tout le monde craint. Je suis assez ferme. J'ai grandi avec ma sœur et ne pouvais faire confiance qu'a elle, mais sa trahison m’a laissé septique, cela a fait de moi quelqu'un de vigoureux, j'ai appris à compter sur moi-même.
Je ne me permets pas de m'effondrer devant quelqu'un. Je refoule tout sentiment, pleurer ce n'est pas mon genre, vaudrait mieux mourir que de me confier à quelqu'un, ma citation préférée est:"Vouloir c'est pouvoir ", cela reflète ma détermination et mon envie, oui mon tempérament pourrait surprendre plus d'un, car derrière mon visage d'ange, se cache une vrais diablesse.

Histoire:

Je suis née un jour de pluie ce qui m'annoncer déjà une vie bien triste. Dans notre famille on était ninja de père en fils, de mère en fille. Je ne pouvais y échapper être un cas a part, j'y étais obliger suivre cette voie, ma destinée l'avait choisi pour moi.

Je n'étais pas venu au monde toute seul, non j'avais une sœur jumelle celle-ci s'appelais Kyou, je me rappelle encore de son doux visage, elle était si belle et si douée. Malheureusement elle fut tuée dans des circonstances qui restent incompréhensible, je reviendrais là dessus plus tard.

J'ai grandi dans l'ombre de Kyou, nous faisions tout ensemble, c'était de loin la seul qui me considérait comme une personne. C’était ma seul véritable amie, elle me protégeait comme elle pouvait, avançant comme excuse que c'était son rôle de grande sœur. Je la regardais avec tellement d'admiration. A la mort de nos parents nous étions que toutes les deux face au monde entier, notre famille nous avez rejeté, nos anciens amis nous avez délaissé, j'avais peur mais elle, elle gardait toujours son sang froid, on devint alors ninja et entamèrent les missions l'une après l'autre, cela était pour notre survie et non pour notre plaisir.

je surprenais souvent ma sœur parlé au ciel noir que laissait naitre la lune, elle était convaincue que le mort de nos parents n'étais pas du a un accident, comme nous avez répété notre famille. Elle se mit alors à creuser au plus profond, je ne sais ce qu'elle découvrit, mais ce don je suis sûr c'est que cela doit être la cause de sa mort subite, et que c'est à cause de nos sois disant proche. C'est pour cela que je me suis promis de ne plus faire confiance à personne.

Je me rappelle encore de cette journée affreuse, c'était un jour d'hiver. La pluie c'était abattue sur le village, le soleil se cachait derrière les nuages. Comme a son habitude, Kyou c'était réveiller tôt le matin pour préparer ses affaires, j’étais en plein rêve quand soudain je sentis une chaleur humaine. C’était elle, ma sœur qui me caressait les cheveux.

-désoler, je te demande pardon.

Tout de suite, je ne comprenais rien. Mais sa voix me semblait perturber, elle était si triste, je ne savais que faire. Quand enfin je me décidais à me lever de mon lit, ma sœur était partie, je sortais de ma chambre et a ma grande surprise tout était parfaitement ranger, il n'y avait plus de papier qui trainer par terre. Avait-elle terminé ces recherches ou bien a-t-elle tout abandonné? Je ne savais plus quoi penser mais ce dont j'étais sûr c'est qu'elle était surement partie chez notre ex-famille. Je restais confiante chez moi, une journée c'était écouler, puis deux et enfin trois, je commençais à douter je pris alors la route vers la grande demeure ou nous habitions auparavant, j’ai su alors que ma sœur était morte et qu'elle était enterré. C'était mon oncle qui me l'apprit.

-Ta sœur est une traitre, elle essayait de me tuer, ce n'est qu'une moins que rien, elle n’a eu que ce qu'elle méritait.



Pour la première fois des larmes jaillirent de mes yeux, une sensation d'impuissance me prit en visitant sa tombe. Ainsi je lui promis de ne jamais être faible. Elle m'avait trempé et je ne pouvais lui pardonner, néanmoins elle me l'avait demandé avant de mourir de plus je ne pouvais refuser une faveur a une morte, surtout pas elle, qui m’a protégé et m’a éloigné de tout problème et confusion. Devrais-je la remercier ou bien lui en vouloir ? Que voudrait-elle maintenant que je puisse continuer ma vie sans me soucier du reste ou bien que je termine sa quête en recherche de vérité ? Pleins de questions me viennent subitement, le plus souvent possible j’essaie de trouver des réponses a celle-ci, mais ce n’est pas toujours le cas.

~Test-rp~
A quoi bon penser a ce jour, pourquoi faire ? Cela me rappelle tellement de chose, tellement de supplice endurée pour rien. Pourquoi moi ? Pourquoi nous ? Qu’avons-nous fait pour mériter tout cela?

Je m’avançais prés de la grande fenêtre qui éclaircissait ma chambre, je regarde silencieusement le spectacle qui s’offrait à mes yeux. Soudainement mon regard se posa sur un étrange papillon noire qui survoler le ciel bleu, ornée de petit nuage. Je me dirigeai vers mon miroir, puis je pris ma brosse, commençant à démêler mes longs cheveux blancs. De mon armoire je pris ma tenue, que j’enfilai juste après. Quand, Je sortis de la maison le soleil baignait dans le ciel bleu azure. Dans l’incertitude je continuais ma marche, des fleurs douces tapissais le sol, une folie incessante me faisait abandonné mes sentiments, la mélodie du vent me transportait vers le doux pays des rêves. Certains endroit de mon cœur restais intacte, elle ne se laissait amadouer par cette aire de vie, cela me protégeais du poison que renfermé cette sphère me privant de mes désires et de mes envies.

Il existe des sentiments qui ne veulent devenir des mots. Peu importe jusqu'où les gens tendent leurs mains. Certains endroits en eux ne peuvent être atteints. Même les sentiments inaudibles nous font de la peine. Je me demande si nous pouvons les abandonner quelque part un par un. Tout ce dont nous somme capable et de protégé cette forme inconnue de nos mains, car un simple sentiment pourrait devenir une envie.
Tout à coup je senti une chaleur humaine, j’entendais les battements de mon cœur s’accroître. Un doute me vint à l’esprit une impression, ou simplement une envie. Je m’arrêtais nette a mon désir de continuer ma marche vers l’au de-là et me retourna, je vis alors ma mère qui me faisait signe de rentrer, de suite je revins sur mes pas.

-je voulais juste te dire que je dois partir avec ton père, ne me questionne pas, car moi-même je ne sais pas où nous allons…. Aller bon prends soins de toi et ne t’éloigne pas trop. Je t’aime.

Elle me prit dans ses bras et me serras comme si c’était pour la dernière, des larmes jaillirent de ses yeux. Elle qui m’avait donné la vie dans un monde de folie. J’étais si jeune et ne pouvait rien comprendre. Je me séparais de ma mère et commença à la regardais. De ses yeux je savais qu’elle me cachait des choses, mais j’étais loin d’imaginer ce qui allait arriver.

Peu m’importais les impressions des autres, pourvue que mes désires sois exaucer. Je me demandais même à quoi servais de préserver les sentiments, pour moi ce n’était qu’un simple éclat, qu’un simple regard que nous portions sur nos envies, une impression de vie ou même un changement inouï.

Je revins à mes occupations, le bruit des pas résonnaient en moi, j’entendais alors l’écho de mes dires, qui eux semblait vivre. Je ne pouvais m’arrêter, il me semblait que j’avais entamé mon futur, je sentais encore le doux rythme du vent et m’étais juré de transmettre cette mélodie qui me faisait tant pleurer.

En ce jour encore je me demande comment faire pour préserver la promesse que je me suis faite étant petite. Je ne saurais comment appelais celle-ci, car en ce jour mes sentiments brame comme une âme, qu’une flamme toujours suit.