Maison d'Arano et de Manami

La journée avait été très fructueuse, surtout pendant cet été. Bien sûr, c'est la première année que mon magasin est construit, mais tout de même, mes petits pantins se vends comme du beurre, c'est incroyable! Plus de 500 marionnettes vendus, seulement aujourd'hui! Je vais en amusé des enfants...mais bon, il y a plus important.
J'était maintenant sur la route menant à mon chez moi, que je partage avec ma soeur jumelle, Manami. Autant mieux vivre séparé de notre famille lorsque nous sommes capable de nous occuper sois même. Le soleil commençait maintenant à se coucher, tout doucement. Se soleil géant, rouge, qui vous cuisait la peau, qui vous la bronzait...Bon, faut dire que je suis déjà assez bronzé comme sa, mais sa fait du bien de sentir cette chaleur sur notre frêle peau.
Maintenant devant chez moi, je sortis ma clé et alla dévérouiller la porte lorsque je vis qu'elle était déjà ouverte... Ça ne pouvait pas être Manami, elle était en train d'entraîner Kyô, notre frère de 10 ans au lancé de kunaï et de shuriken. Ça ne pouvait pas non plus être Yakuzu, notre coéquipier, qui était en mission extérieur avec son père et son grand frère. Intelligement, je rentra dans ma maison, me cacha dans le coin de la maison dans l'ombre, mes marionnettes prête à être lancé. Je regarda de fond en comble la pièce, rien. J'utilisa mes oreilles: j'entandais un grattement aux deuxième étage. Rapidement et doucement, je monta les escaliers et lança mon Kunaï directement au moment où je vis l'intrus. Je trébucha par terre, malgré tout.
Je me releva et m'aperçu que ce n'était qu'un chat blond. Je l'avais raté de peu, environ trois millimètres.

-Mais que fais-tu là toi? Ton maître doit sûrement te chercher!

J'accueillis le jeune chat dans mes bras et l'enroula confortablement dans mon manteau vert. Je retiras ma capuche étant à l'intérieur de la bâtisse. Je me dirigea vers la cuisine pour lui donner du lait lorsque j'entendis une bonne femme criée:

-Chukaki! Où es-tu?! Chukaki!?

Je regarda le chat de travers. Pourquoi appelé un chat comme ça! C'est laid comme nom. Et puis? Qu'est-ce que je pouvais bien faire...
Je sortis une petite bouteille du réfrégirateur et sortit à l'extérieur, oubliant de mettre ma capuche. La femme était juste au coin de la rue, à deux mètres de moi. Je m'avança tout en disant:

-Il est à vous se chat, madame?
-Oh oui! Viens ici Chukaki!

Je lui donna le chat avec la bouteille de lait tout en lui expliquant comment je l'avais retrouvé, en lui disant qu'il était dans ma maison en train de faire je ne sais pas trop quoi. Et que ma porte était déverouillé. Elle s'excusa pour le trouble que son chat ma donné, mais elle ne savait rien pour la porte ouverte... Très étrange en effet.
Je retourna tranquillement chez nous, ferma la porte derrière moi. Lorsque je me pencha légèrement pour enlever mes sandales, je sentis des grains de sable tombé de mes cheveux.

-Youpi! Il va falloir que je me lave les cheveux...!