Un enthousiasme hors du commun

C’était la première fois qu’elle voyait autant de feuille, de couleur, partout. L’habitude lui donnait un malaise. Elle avait presque le mal du pays, pu était donc sa pureté, sa blancheur de Crystal, qui faisait d’elle : un diamant ? Ce village presque démoli avait un certain charme. Elle pouvait tourner sur elle-même en plaçant ses mains, comme pour chercher un bon plan. L’administration était intacte enfin juste des feuilles avait disparu sur les habitant ce qui fait que elle s’en crée facilement, et travaille à la bibliothèque. Enfin, elle pourrait savoir tout ce qu’elle veut. Elle prit un dossier sur les Uchiwa, la soif de connaissance, des plus violant meurtre, étant fascinant pour elle. Comment elle peut le prendre sans que personne ne se rende comte ? C’est très simple, ce faire passer pour une apprentie historienne du village était vraiment simple, un jeu d’enfant.

Irina décida de se rendre sur les ruines, de l’acte où tout ce passait. Elle lisait en avançant comme si elle était le garçon de l’histoire, tout en imaginant les maisons qui aurait put être. Elle aimait bien comment il était ces ruines, un paysage assez romantique comme dans les livres qu’elle avait lu, sur l’amour. Elle rigola sur place. Prit de nostalgie, elle sauta sur une pierre, tout en chantant une vieille chanson assez entrainante. Elle montait sur ces pierres qui faisaient comme un escalier. La jeune femme voyait comme des personnes la suivant, s’amusant comme elle le voulait. Il était apparu par un justu d’illusion. Kokoro avait presque oublié la réalité, de son amusement de sa pièce de théâtre mélangé à une comédie. Les maisons réapparurent comme elle l’imaginait, un happy world. Le mal du pays était déjà presque oublié pour un petit moment.

Elle remarqua une personne au loin, elle stoppa tout en tapant dans les mains. Toutes les personnes, les monuments, animaux, sangs, disparurent en papillon argenté disparaissant comme de la poussière, assez haut dans le ciel. Alla-t-elle faire une nouvelle rencontre ? Importante ou inutile ? Changera-t-elle sa vie ?

[P.s : si vous voulez suivre mon délire écouté en même temps Pussycat dolls – Jai ho]

Idatsu ferma la porte de son magasin en s’assurant de bien la barré à double tour. Personne ne devait tomber sur les documents qu’il y avait entreposés. Aujourd’hui, il était maintenant temps d’aller la chercher là où il l’avait rangé à l’abri de tous les regards. Dans les ruines du vieux dojo des Uchiha, le clan maudit, le faux civil de Konohagakure No Sato avait caché sa fidèle lame, Kurotsuki. Il espérait qu’elle ne soit jamais découverte car son passage dans ce village devait rester en quelque sorte un secret. Si moindrement le village de Kiri venait à le retrouver, seul les dieux connaissaient sont avenir. Yataki Monu était sensé être mort à l’Heure qu’il est, pas vivant. Il perdrait tout avantage stratégique surtout que la dernière fois, il s’en fallu de peu pour qu’il en réchappe.

Le shinobi renégat emprunta les ruelles qui sillonnait le village de part et d’autre, il ne devait pas laisser connaître sa destination. Il savait que les ruines étaient un endroit désert vu le fait que son accès était extrêmement limité voir même interdit. Voila se qui faisait de cette cachette la meilleure. Quand il arriva enfin devant l’ancienne entrée où temps de grand ninja avait passé autrefois, il s’assura de bien regarder autour de lui. Personne, même pas un petit chat. Du coup, aucun personnage indésirable ne viendrait moindrement le troubler pendant ses retrouvailles avec son épée.

Quand il finit par finalement la retrouver à l’endroit exacte où il l’avait laissé, il eu un sourire de soulagement. Le mois qu’elle avait passé sous toutes les intempéries, elle était toujours intacte. Pas la moindre tache de rouille. Puis, ce dut quelque chose d’autre qui attira son attention. Au loin, des images s’animaient tel un spectacle de marionnettes. C’était magnifique de sont point vu bien sure. Toutes les maisons étaient redevenues normales, en parfaits états. Quelqu'un était là-dessous. Puis, il aperçus parmi tout ces illusion, une jeune femme qui semblait danser. Elle avait l’air d’avoir oublier le monde réel. Il ne pu s’empêcher de taper dans ses mains.

Quand il vit toute les illusions disparaître d’un seul coup, c’est là qu’il vit qu’il avait fait une erreur, un incident de parcours. Il avait été remarqué, la dernière chose qui devait arriver. Il reprit donc Kurotsuki qui avait été brièvement planté dans la terre parsemé de détritus. Qu’allait-il arriver?

Examinant l’épée qui touchait le sol, ce fut presque de l’hilarité qui allait la prendre de vue. On ne peut pas être précis avec une épée de cette taille, enfin trop long selon elle. Kokoro avança sur les pierres pour se retrouver un corps en dessus de cet intrus. Elle ne put résister à l’envie de le narguer. « Attention, un loup qui ne prend pas garde… Très belle arme… ». C’était comme même vrai. L’arme avait un certain charme, mais vu la position du jeune homme, qu’elle n’avait pour l’instant pas fait beaucoup attention, devait être sur le qui-vive. Elle était là depuis un mois et pourtant cette allure ne lui disait rien. Elle remarqua ses yeux, d’un rouge magnifique. Un visage qu’elle préférait ne pas tellement regarder, donc son corps était le meilleur moyen de ne pas être déstabiliser. Elle acquiesça un sourire. « Qu’est-ce que un ninja fait dans les environs de ruine, surtout comment on peut abandonner une arme comme celle-ci par ici. Dommage que je l’ai pas retrouvé avant toi… »

Son rire cristallin remplit l’atmosphère. Il était comme même bizarre, c’était un ressentiment qu’elle avait pour lui. Comment devait-elle réagir ? Gentiment ou méchamment ? Il lui plaisait bien, beau savoir pourquoi ? Elle essaya de casser la glace, joli, la glace…A son cher pays… « Il fait trop beau, je n’aime pas ce soleil… Je me présente… » Mince qu’est-ce que c’était son nom dans ce village, heu… « Hana Tsubasa… Tu es ? » Elle regarda son visage, ses yeux. Elle sentit que ses veines chauffaient, réfléchissait à autre chose, aux petits oiseaux qui gambadait et voltigeait dans les airs. La froideur reprit ses droits. Elle jurait intérieurement, sachant qu’elle ne devait surtout pas le regarder dans les yeux. Elle voulut utiliser une technique pour l’hypnotiser, le faire pour qui soit son pantin, une marionnette qui serait cas elle, excellente idée. La jeune femme s’étira et se pencha en mettant ses mains derrière elle. Elle essaya de faire le plus discrètement le justu… Il y avait comme même un problème, un gros, vous avez déjà vu une historienne faire des justus d’illusion ? Je ne pense pas. Un doux sourire se dessina sur ses lèvres pour cacher le fait de ce qui allait se produire. C’est mal, Irina ! Enfin, non… La question principale, c’était : est-ce qui va remarquer ou pas ? Tout dépend de la réponse. Ça allait être drôle.

- Comment pouvez-vous croire que je suis un ninja? Je ne suis qu’un simple vendeur d’arme du village, et, ma foi, je suis aussi collectionneur imaginé vous et cette arme, je la recherche depuis un bon moment , menti le renégat de Kirigakure No Sato, Vous pouvez m’appeler Idatsu, Idatsu Athomora..

Le shinobi força un sourire en se penchant pour exécuter une élégante révérence. En réalité il était mal. Si elle se décidait à l’attaquer avec le pouvoir qu’il a vu plutôt, il serait obligé de riposter et du coup de se faire remarquer. Il perdrait du coup toute sa subtilité et il serait jeté en prison. Ce n’était pas le temps. Il était si près de son but, il pouvait presque voir le résultat de son plan. Mais, il n’en était pas encore rendu là. Pour qu’il utilise, les pouvoir de Kurotsuki, son pouvoir, il en faudrait gros. D’un geste habile de la main montrant une très bonne dextérité, il rangea sa lame dans son dos. Vu part la technique qu’elle avait utilisé quelques minutes au paravent, elle n’était pas un enfant de cœur.

Il le va les yeux vers le soleil qui brillait fort tout de même. Il était horrible à supporter. Le fait d’être albinos n’aide en rien. Au moment où la demoiselle mi les main dans le dos, il se tourna lui présentant son dos. C’était un geste irréfléchie serte mais c’était le meilleur moyen de savoir si elle allait l’attaquer. Le fait d’être de dos donnait l’avantage à n’importe quel adversaire par le fait qui celui qui c’est tourné ne voie rien derrière lui. Rebaissant la tête pour regardé cette fois le sol, il regarda ses mains. De la main gauche, il enleva le gant de cuir qu’il portait à la main droite. Il était maintenant près à ce défendre en cas d’attaque.

- Et vous, que faites vous ici? Par la démonstration que je vu tout à l’heure vous n’êtes certainement pas une personne que l’on puisse qualifier de civil, vous avez très certainement eu droit à un entraînement quelque ce soit? Mais bon, cela n’est pas le sujet, ma véritable question est ma première, que faites vous ici, je croyais que le site était interdit d’accès.

-Tu sais, d’où je viens, tu aurait été tué sur le champ pour n’avoir pas mit fin à quelque chose que tu as commencé. Je ne dit pas non plus que j’approuve totalement ce jugement donné par ces dictateur que sont les Kage. À vrai dire, je suis totalement contre et pour moi, ces salauds devraient mourir tous sans exception. Trop de mort on été commandité par ces criminel. Qui de eux ou moi l’est vraiment, peux-tu me le dire toi! Tu sais, me tuer aurait été si facile, mais maintenant je te dois quelque chose. J’aurais donc l’obligeance de me présenter réellement. Je me nomme…

Il venait déjà d’enfreindre l’une des règles qu’il c’était apposé. Personne ne devait le découvrir ou tout simplement savoir qu’il se trouvait ici. Hélas, il été trop tard, il avait commencé et il devait maintenant terminer. Il ne connaissait rien de la personne qui était devant lui. Il pouvait bel et bien s’agir d’un Oi-Nin, un chasseur de déserteur du village caché de la brume ou plutôt d’une chasseuse. Peut-être s’il s’expliquait, elle le laisserait tranquille. Mais il est aussi possible qu’il se trompe, qu’il soit à des kilomètres voir des années lumières de la vérité mais une chose était sur, elle mentait sur son identité. On dit qu’un menteur peut en reconnaître un autre et cela est vrai.

Il fit volteface et regarda la jeune femme qui était devant lui. Il ne pouvait dire à quoi elle pensait, il en avait pas le pouvoir et s’il l’aurait eu, aurait-il réussi? De la main droite, le shinobi déserteur de Kirigakure No Sato retira l’épée qu’il avait rangée dans son dos et la replanta directement dans la terre. S’il avait à combattre, il était maintenant près. Personne ne connaissait le dénouement. Il est vrai qu’il ne s’était pas entrainé depuis quelque semaine voir plus d’un mois. Le ninjutsu, c’est comme le vélo, une fois que tu en fait, il est difficile d’oublier comment faire. Cette phrase, il l’avait entendu souvent de ses Senpai.

Le shinobi renégat fit donc un pas, puis un autre et encore un autre jusqu'à être à environ cinq mètre de celle qui venait de l’attaquer. Il trainait son épée par terre laissant derrière une fissure d’environ une trentaine de centimètre. De sa main droite, la même qui tenait sa lame, Kurotsuki, le chakra commençais à s’activer. L’arme commença à prendre un teinte subtile touchant le rougeâtre, la même que le sang.

-Je me nomme Yataki Monu, du village de Kiri. Si tu tien à me combattre, bat toi et je t’éliminerait sinon, dit moi ton vrai nom.

La demoiselle partie en cavale. Elle connaissait son secret, il n’avait qu’une chose à faire, la suivre. Elle avait déjà une bonne longueur d’avance se qui n’avantageait en rien le shinobi mais se n’était pas encore peine perdu, il avait encore une chance de la rattraper. Il avait en pressentiment, un bon, un mauvais, il ne le savait pas. La seule chose qu’il savait c’était qu’il devait la rattraper. Il parcouru tout les chemins possibles sans jamais revoir la jeune femme. Même s’il n’avait pas à l’éliminer car rien ne lui disait qu’elle était une personne qui lui en voulait quoi que rien ne lui disait non plus qu’il ne courrait pas vers un piège, il devait connaître son nom. Il savait que se qu’elle lui avait dit un peu plutôt n’était qu’un pseudonyme, un nom d’emprunt comme le sien, Idatsu Athomora. Il avait mit une nouvelle fois sa fidèle épée dans son dos. Il aurait bel et bien plus se faire voir, perdre son anonymat, sa couverture, mais de tout ça, il s’en fichait. Il devait la retrouver pour un je ne sais quoi.

Il l’a chercha pendant des heures, le soleil s’était presque couché et le tout annonçais une nuit fraiche. C’est à contre cœur qu’il devait entrer, en prennent soin de passer par le magasin pour y ranger Kurotsuki en lieu sur. Il demanderait des informations au shinobi qui passerait à son lieu de travail le lendemain. Quand il arriva enfin dans le petit bâtiment qu’il avait loué, il se dirigea immédiatement au sous sol. À l’intérieur, la pénombre avait envahit chacune des pièces. Il ne se contenta que d’allumer une seule lampe, celle de l’entrée avant de prendre le pas vers l’escalier qui descendait dans la réserve plus bas. En avançant tranquillement pour ne pas se buter à quoi que se soit, il écrasa quelque chose. Quelque chose de dure et cassant. Se penchant pour regarder de quoi il s’agissait, il prit soin de mettre le gant qui était resté dans sa poche. L’objet était un mince verre. Il y en avait quelques autres morceaux dans les alentours. Quelqu’un était entré.

Jetant le morceau de verre sur lequel il avait marché parterre, il eu comme réaction de descendre immédiatement à la cave. Tout ses papiers, son argent, ses plans si trouvaient. Si quelqu’un venait à tout trouver, le poteau rose serait découvert. Il fût soulager de voir que rien ne manquait. Avant de remonter pour voir si rien ne manquait ou encore si la personne qui était entré était encore là, il rangea Kurotsuki derrière la grande bibliothèque. Il s’empara d’un simple Katana et remonta à l’étage. Il chercha pendant cinq bonnes minutes avant d’apercevoir dans un coin une silhouette, une silhouette féminine.

-Qui est là!?!

Il regarda de la tête au pied la jeune femme. Son premier geste fût de mettre la pointe de sa lame sous la gorge. Qu’est-ce qui le retenait temps? Se ramollissait-il? Il n’y a pas si longtemps encore, il aurait tué sans le moindre regret, oubliant le visage de la jeune femme le plus rapidement possible avant que les remords viennent le hanter. Il resta là, sans faire le moindre geste, la pointe de sa faible lame sous la gorge d’une presque inconnu. Le droit de vie ou de mort lui appartenait-il vraiment? Il ferma les yeux et commit le geste qu’il regrettera peut-être plus tard. D’un geste vif de la main, il lança la lame à l’autre bout de la pièce. Celle-ci alla ce planté dans un meuble en chêne de valeur considérable. Il prit une grande inspiration et rouvrit les yeux. Qu’allait-il dire et faire? Il ne pouvait pas la laisser là, sans parler du fait qu’elle était blessée. Des questions allait se poser s’ils allaient à l’hôpital, pour le fait que lui est inconnu et si elle disait vrai cette fois, elle était dans le même problème. Il ne connaissait pas le ninjutsu médical, la seule chose qu’il pouvait faire c’était de faire un garrot pour que ne bouge pas trop. Il ne savait même pas si elle était brisée et n’en connaissait encore moins la gravité des blessures.

Finalement, il n’avait pas d’autre choix que de la laisser là et comme il ne la connaissait pas, il devrait y rester lui aussi. C’était parti pour un tour. Par chance qu’il habitait dans le petit appartement tout juste en haut de son commerce. Il ne pouvait pas y monté car la laisser seul serait en quelque sorte la laisser sans surveillance. La confiance ne régnait pas très fort fort dans son cœur présentement. Prenant une autre profonde respiration, il parti en direction de la lame qu’il avait planté un peu plus loin. Juste à coté, il prit une chaise et la transporta près de la jeune femme qui gisait depuis trop longtemps parterre. Il prit de ses mains gantés la demoiselle et l’assis sur la chaise qu’il venait tout juste d’emmener et il se servit d’une pile de catalogue d’arme pour en faire une sorte de pouf pour que la jambe de la jeune femme reste droite. Pouvait-il lui faire confiance cinq minutes le temps d’aller chercher autre chose.

-Puis-je te faire confiance le temps de monter à l’étage? Dans l’état où tu es présentement, tu ne peut pas vraiment voyager et je ne peut aller te porter à l’hôpital la plus près faute d’identité. Sinon, si ta jambe te fait vraiment trop mal, je peut tout simplement la couper avec le sabre que tu vois là-bas. À toi de choisir maintenant.

Quoi penser de tous ça. Cette journée aurait du être normal. Il aurait été cherché Kurotsuki, l’aurait emmené dans le sous-sol et le tout n’aurait été suivit que par la routine. Mais non, comme toujours y’a des imprévus. Dire que… finalement rien, il ne pensait pas, il avait présentement un autre problème, cette fille qui déboule dans sa vie comme ça, sans prévenir. Il ne croyait pas au destin, les dieux contrôlaient l’avenir de chacun. Si quelque chose devait arriver, eux s’occupait que le tout soit comme il l’on écrit. Aurait-il du la tuer là-bas, dans les ruines? Et puis, il la retrouve la, assise parterre, dans la pièce où tout les jours il travail. Mais qu’est-ce qu’Amatératsu (Déesse préféré d’Idatsu) voulait bien?

Idatsu se retourna et retourna près de la jeune femme et posa son index droit sur le front de celle-ci. Sa main gantée ne tremblait point. Il avait prit les mises engarde pour un défi, un défi qui le confrontait pour une nouvelle fois à la mort. À vrai dire, la peur réel, il ne la ressentait plus depuis des lustres. Se l’interdire était en quelque sorte le meilleur moyen de parvenir à son but ultime. Puis, après quelques secondes, fit les contours du visage en finissant par le menton bien sure. Il posa son pouce sur la bouche de la demoiselle. Il l’a regarda fixement pendant un moment. Un long silence plana dans la boutique avant qu’il ne se décide finalement à parler. Sa lente respiration s’accéléra quelque peu en même temps que les battements de son cœur.

¸-Donc je court un danger en faisant ceci? Présentement je ne sens rien, vais-je exploser ou encore mourir pétrifier? Donc votre blessure Irana, si cette fois se nom est vraiment le votre quoi que je n’en douterais pas cette fois, il n’y a pas le même esprit de recherche quand vous l’avez prononcé, n’est quelque peu bénigne. Je vais vous montez à l’étage car demain, comme tout les autres jours je vais ouvrir ma boutique aux heures matinales. Vous savez, faire des plan pour tuer les kage, ça ne rapporte pas beaucoup de puis quelque temps.

Quel était donc ce sentiment ? Elle ne savait plus quoi faire. N’ayant pas répondu comme elle l’espérait. Il s’était trop approché d’elle. Elle ferma les yeux pendant un petit moment, imaginant qui lui avait répondu en quittant cette salle vexé, une réalité si belle. Son imagination arriva à la calmer un peu grâce à son pays, la neige qui y recouvrait, une plaine illuminant comme du diamant. Elle entrain de l’admirait. C’était un si beau paysage le matin…Irina perdit complètement l’est ou l’ouest, quand elle sentit le contact d’un de ses doigts. Qu’est-ce qui essaierai de faire ? Qu’est-ce qui cherchait en faisant cela ? N’avait-il pas peur de mourir, où c’était l’adrénaline de la mort qui le poussait à faire ça. Elle n’arrivait…Ses mains se crispèrent sur la chaise. Non, il ne devait pas prendre l’avantage, non. Sa main sur son visage, cette caresse était si douce pour elle. Une envie lui démangeait les lèvres, si elle le faisait qui lui en voudrait, qui donc ? Personne ? Parce qu’elle aurait été la seule sur les lieux. Mais elle, elle le saurait, l’ayant tué par égoïsme. Il l’avait perturbée, lui et son regard. Quand son pouce se plaça sur sa bouche, ce fut le coup de grâce.

Levant les yeux vers lui elle ne put résister à cette envie. Mais sa voix la ramena sur terre. Elle fixait ses yeux oubliant presque pendant quelque minute qui elle était vraiment. Avait-il en fin de comte le droit de faire ça ? Il avait brisé un silence qui avait été pour elle si pesant, ne réalisant même pas du temps qui pouvait s’écouler. Elle arrivait à entendre dans sa voix que sa respiration avait accéléré, mais pourquoi donc ? Chacun de ses mots resta dans sa tête et fut répété deux puis trois pour bien avoir compris qu’il lui parlait, à elle ! Que devait-elle faire ? Il s’était donc lancer une sorte de défi à lui-même ou à elle ? Que pouvait-elle répondra à ça ? Il n’y avait aucun mot, aucune phrase qui pouvait décrire ce qu’elle ressentait sur le moment. Elle essaya d’articuler le mieux qu’elle pouvait sa voix était pas calme, assez dans les aigues comparée à la normale. Il était si près, si près. Elle mit sa main sur sa main qui tenait son visage, réussissant à l’écarter, cette main de son visage mais pourtant si incapable de la lâcher, y déposant ses lèvres, puis le regardant droit dans les yeux. Sa peau, si douce au contact de la sienne, provoqua l’activation du poison. Ses veines au lieu d’être de couleur bleu/rouge et peu voyant, changèrent pour un vert assez voyant, ressortant un peu de sa peau.

-Je ne veux pas vous tuer… Je suis un poison…Rien qu’une éraflure ouverte, en contact de ma peau, peu devenir mortel..

Elle lâcha sa main, en espérant qui allait retenir la leçon. Il ne devait plus s’approcher d’elle comme ça, même si pour une fois ce qu’elle ressentait arriver à lui faire du bien.

-Heureusement pour vous, j’ai bu un mélange qui m’empêche de faire le poison aéroporté et transmissible par la peau. Malheureusement. Oui, tuer un Kage se qui fait de moi, un déserteur, c’est comme ça que vous dîtes ? Là, je recherche le problème et un but concret à ma vie.

Son regard se perdit dans le siens, attendant presque qui aie la résolution à son problème qui aie l’antivirus, qui lui donnerait et qu’elle refasse sa vie. Qu’elle puisse gouter d’un baiser qui ne tuera pas la personne. Ses yeux saphir lui faisaient louper des battements de cœur.

La couleur que prit les veine de la jeune femme le fascina au plus haut point, c’était comme un sentiment d’admiration et de terreur qu’il ressentait. Jamais il n’avait vu ça et jamais il n’avait espéré le voir. C’était magique voir irréel. C’était magnifique, une véritable œuvre d’art sur peau. Puis, il se dirigea vers une glace, un miroir d’argent. C’était pour lui le reflet de la réalité, le moyen de revenir sur ce monde cruel, de voir par le biais de l’objet ce qui se passe autour de lui, sans que son cœur ne sans mêle. Se qu’il y vit fut lui, seul, debout. La faible lumière qui éclairait la pièce faisait paraître sa peau encore plus blanche qu’elle ne l’est vraiment. Il vit, ses cheveux argentés qui luisaient dans la faible luminosité et le tout se terminèrent sur ses yeux, ses horribles yeux rouges qui rappellent ces démons que le compte pour enfant parle si souvent. Un démon, voilà se qu’il était. Il avait vécu la nuit, dans son village qu’était Kiri, pour tué et éloigné les ennemis de la légion. Lui, il était un monstre. Bien qu’il vivait maintenant le jour, la forte lumière du soleil irradiait peu à peu ses yeux et sa peau.

Il regarda la demoiselle de nouveau en se retournant vers elle. Il ne senti pas la larme couler sur sa joue et encore, il ne la remarqua même pas, à vrai dire, la dernière fois qu’il avait pleuré, il n’était encore qu’un petit bébé qui demandait sans arrêt sa mère. Celle qui était devant lui n’avait surement pas un meilleur destin, elle ne pouvait aimer. À ce qu’il avait comprit qu’elle ne pouvait chérir celui qu’elle aimait et encore, elle ne pouvait même pas lui toucher sans le voir mourir. Voilà un bien sombre avenir. Voila peut-être le début d’une amitié, est-ce le message des dieux? Sa rédemption après avoir tué tant d’homme pour le compte d’un criminel tel qu’un Kage? Tout était possible, il en était certain si bien sûre, que les tout puissant le veuille bien.

Il monta en trombe à l’étage en direction d’un armoire, y prit une couverture et redescendit aussi vite qu’il était monté. Il se dirigea vers la belle empoisonneuse et l’entoura dans la couverture. Comme ça, en la transportant en haut, il n’aura aucun risque d’infection ou de transmission quelque se soit du poison.

-Je vous amène à l’étage mademoiselle, vous y serait mieux sans parler de se que j’ai dit plus. Il sera très certainement moins inquiétant de ne voir personne dormir dans la boutique. Vous pourrez y rester tant que vous le désirer, personne ne viendra vous y chercher en tout cas, c’est ce que je pense. La boutique n’est pas très active avant un peu plus que l’heure du midi.

Il l’a coucha dans son lit, c’était le seul de tout son logis sans parler qu’elle en a certainement plus besoin et puis, les dame d’abord. Idatsu, lui, se contentera de son canapé. Même s’il était seul, il y dormait presque toujours donc il n’y aurait pas grand différence à d’habitude.